Il leur reproche d’avoir entonné des chants homophobes, ainsi que des menaces de mort. Son avocat a confié quelques précisions à l’AFP : « C’est une initiative raisonnable qui n’est pas inspirée par des motifs de vengeance mais qui vise plutôt à dénoncer ce climat de violence dans les stades », a-t-il expliqué. La gendarmerie de Blagnac est en charge de l’enquête.