De surcroît, le média ajoute qu’en vertu de cet accord « béton », la somme était nette d’impôts et de taxes : « Il ne paye aucune taxe : prélèvements sociaux, impôt sur le revenu, ISF, taxe régionale, taxe municipale ou « toute autre taxe ». À charge pour l’OM de remettre éventuellement au pot pour qu’il atteigne les 3 millions d’euros net », précise l’article. Ainsi, seule une faute lourde ou grave pouvait permettre au club phocéen de s’épargner des dépenses faramineuses, au moment de son licenciement.
Ceci explique pourquoi l’Espagnol a été accusé de faute grave par les anciens dirigeants marseillais, au moment de son départ. L’ancien coach a finalement déposé une plainte et réclame aujourd’hui 2 millions d’euros à l’OM. Une sacrée casserole.