« Il était comment Éric ? Très gentil. Pas d’insultes, pas de coups (rires). De toute façon, il le dit lui-même. Je jouais à Nantes, je jouais ailier droit, Éric jouait arrière gauche. Je savais que ça allait être un duel de folie, ce match-là. Je savais que ça allait être dur pour moi. Pendant quinze minutes, je touchais pas terre, la cisaille de tous les côtés. Il était protégé par les arbitres parce qu’il disait bonjour à l’arbitre avant le match. Je prenais plein de coups, j’avais mal partout, et au bout de quinze minutes de jeu et plein de coups, l’arbitre mettait enfin un jaune. Et là je disais : « Ouf, c’est bon. Merci l’arbitre, on va pouvoir jouer. » Je me rappelle très bien d’Éric, d’autant que l’on s’est vus en équipe de France et que l’on s’entendait très bien, par contre c’est vrai que quand je jouais à Marseille, je jouais côté droit, j’avais Éric, puis quelquefois je me disais que j’allais dézoner et jouer un peu dans l’axe et t’avais Basile Boli qui était dans l’axe. Si tu passais de l’autre côté, tu en avais un autre. Et si tu passais Basile, parce que quelquefois il m’arrivait de l’éviter, tu avais Mozer qui arrivait, la cisaille, dans la tribune. C’était même pas la peine ! » a-t-il déclaré au micro de SFR Sport.
Eric Di Méco "Thierno Youm, au Vélodrome, je l'envoyais contre les balustrades"
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