« Cet été, les Yankee nous ont dit qu’ils voulaient faire une démarche groupée afin qu’on ne se déplace pas (ce qui est contraire à la convention signée, Ndlr). On n’avait pas le choix. Puis, début août, ils nous ont contactés pour nous dire qu’il y avait un souci. Pour chaque match, ils nous ont donné des places que l’on devait récupérer soit au local, soit au stade », a-t-elle expliqué. Or ce n’est désormais plus le cas : « On ne nous donne plus de places. Contre Bordeaux, il n’y avait personne devant le stade. Cette situation est un peu pénible. Depuis deux rencontres, c’est carrément n’importe quoi. On ne peut pas assister aux matchs, ni être remboursés ! On est pris entre deux eaux. Si j’avais pu choisir, j’aurais fait une démarche normale, on ne sait pas vraiment comment on va sortir de là », a-t-elle ajouté.
Il y a quelques semaines, visiblement contrarié, Michel Tonini semblait avoir perdu la foi. Il indiquait qu’il n’était « pas masochiste », pour se rendre au Parc des Princes voir l’OM « se prendre une fessée ». A ce rythme, les Yankees risquent de perdre de nombreux adhérents.
