« C’est de ma faute. Il essayait de faire comprendre un truc à un joueur, mais il n’y arrivait pas. Je lui ai alors expliqué devant tout le monde que le mec ne pigeait pas, raconte Olszewski. Il a pensé que je remettais en cause son autorité, et là, il m’a proposé une baston. Il a dû se dire : ‘Bon, les menaces, ça ne fait rien sur lui, l’argent non plus, c’est un gars qui vient de la rue, eh ben on va régler ça comme dans la rue.’ Il a 65 ans, j’en ai 40… Si je lui avais tapé dessus, tout Marseille aurait voulu me faire la peau ! » s’est-il remémoré.