« Comment j’ai vécu le départ de Labrune ? Je le connaissais avant qu’il soit à l’OM. Il y a eu un clash entre lui, Anigo et moi. Ce n’est pas un secret. Dans mon business (j’ai une société de marketing sportif et d’événements), je l’ai rencontré. Il m’a dit que ce serait bien que je vienne à l’OM. Son départ a été plutôt virulent. Je ne suis pas bête. Je ne voulais pas laisser le club mourir avec un président que les supporters haïssaient à mort. C’est pour ça que j’ai dit à Franck que je ne le lâchais pas, que je restais à ses côtés s’il le fallait. « Je vais peut-être me laisser griser, mets-moi un coup de canif si un truc ne va pas », lui ai-je dit. Il l’a fait, parfois je me suis laissé emporter. Je sais où est ma place. Vincent allait partir, mais nous deux, avec Franck, on a vécu ici, on ne peut pas laisser le club comme ça. Mon histoire n’est pas liée à celle de Vincent Labrune. Elles n’ont rien à voir », a-t-il confié au quotidien.