« Ce sont les OM-PSG. Là-bas, j’en ai pris des belles sur la tronche, notamment lorsqu’il fallait tirer les corners. L’année où l’on gagne 4-2, il y avait mon effigie crucifiée puis brûlée dans un virage. Les après-matchs étaient également brûlants. Dans le car, j’avais légèrement tiré le rideau pour regarder. On passait devant une petite épicerie et j’ai fait un petit sourire moqueur au mec qui en sortait. Il s’est emparé d’une citrouille et l’a balancée sur la vitre du car qui a explosé », s’est-t-il souvenu. À la radio RMC, le milieu offensif travaille aux côtés d’Éric Di Meco, qui a imprimé ses crampons sur les mollets de nombreux Parisiens : « C’est une autre génération. Et puis Éric, je lui ai dit : « Qu’est-ce que j’ai pu t’insulter quand j’étais en tribune, au Parc. » Je prenais même des claques de mon père… Quand vous signez au PSG, vous entrez dans une bulle. Je n’aimais pas voir des joueurs quitter le PSG pour signer à Marseille.Après, on n’est pas obligé d’être amoureux de son club. Mais moi, je le suis du PSG. Je ne prendrais pas beaucoup de plaisir à recroiser un mec identifié Marseille comme moi je le suis avec le PSG. Et je pense que la réciproque est vraie », a-t-il ajouté.