Dans L’Équipe, Michel Tonini dépeint un tableau très sombre : « La ferveur a été mise entre parenthèses pendant vingt ans. Ils ont fini par vider le stade. Même les supporters qui faisaient encore semblant d’y croire ont fini par déserter. J’ai connu une époque où l’OM avait des charlatans à sa tête, où le club montait, descendait, mais on s’en accommodait, la passion persistait. Là, je ne vois que du gâchis, de rares instants de bonheur vite douchés. Sa fortune a plus servi à gaver des agents et des intermédiaires », a déclaré le président des Yankees.