« Robert Louis-Dreyfus était un personnage extraordinaire. Un milliardaire provocateur, jouant aux cartes, on n’en rencontre pas cinquante. Je me rappelle de sa joie lors de la victoire en Coupe Intertoto, mais aussi de son enthousiasme, dans le bureau du maire, en 1996, à la vente du club. Il avait Adidas derrière lui et une ambition incroyable. Sa puissance financière l’a handicapé. Il s’est englué dans des strates de personnes vivant sur le dos du club », a-t-il déclaré au quotidien.