« C’étaient deux journées dans un contexte très particulier. Déjà, à Bordeaux, au-delà du fait d’être un promu, il y a eu un la retransmission du match et tout ce qui est lié aux annexes de la retransmission. C’était une première, donc, il y a eu ce paramètre un petit peu émotionnel à gérer. Ensuite, c’était un premier match pour l’OM au niveau national et c’était un deuxième nouveau paramètre à gérer. Ca s’est vu sur l’entame du match et la première mi-temps, où on a eu pas mal de difficultés. Ensuite, le deuxième match à Paris, c’était aussi un contexte particulier. Match au Camp des Loges avec, encore une fois, une annexe liée au match très particulier, qui nous permettait de découvrir ce qu’était le haut niveau et tous les à côtés qu’il y avait. Sur ce match-là, les filles ont réussi à rentrer plus rapidement. C’étaient deux matchs de découverte. Ce qui ne signifie pas que nous ne sommes pas compétiteurs, loin de là. Je pense que les filles ont montré, à Paris, l’engagement qu’elles voulaient mettre dans cette partie-là. Dans le contenu, c’était beaucoup plus intéressant que ce que l’on avait vu à Bordeaux. Je pense que le groupe monte en puissance », a notamment confié l’entraîneur.
L’OM Féminines donne le sentiment d’apprendre le haut niveau à très vive allure. On peut imaginer qu’il faudra rapidement compter sur lui pour truster les premières places du classement de la compétition.