« L’OM essaie de faire croire qu’on a pris nos propres adhérents en otages. Mais, en fait, on s’est juste occupés d’eux. Aujourd’hui, on se retrouve devant un tribunal, mais c’est un crève-coeur. Je ne comprends pas l’intérêt de l’OM de brimer le peu de supporters qui veut venir au stade », a-t-il confié au quotidien.
Pour rappel, l’imbroglio concerne la situation de 352 supporters qui ont refusé de donner leur… adresse au club olympien. En conséquence, la domiciliation qui figure sur les cartes est celle de l’association. Le verdict de la justice est attendu ce matin.