« Je n’avais pas beaucoup d’affaires. La première fois, on m’a pris le peu que j’avais, la deuxième, il n’y avait plus rien, souligne le Belge. C’était ridicule de faire un tel cambriolage. Cela ne m’a pas gêné dans mon travail. C’est juste emmerdant, parce qu’il y avait ma carte d’identité, mon permis de conduire. C’est plus ennuyeux pour moi que profitable au voleur… Qu’est-ce que l’on peut faire avec ma carte de mutuelle ? », s’est-il interrogé dans les colonnes du quotidien.