» Avant on se demandait si on allait gagner le championnat. Aujourd’hui on sait qu’on ne va pas le gagner. Il est nécessaire de réinventer un modèle où tu sais que tu ne vas pas toujours gagner. Labrune a voulu piloter une voiture de course alors qu’il n’est pas pilote. Quand je suis parti, il y avait encore Pape Diouf manager général et José Anigo entraîneur. Une structure qui a résisté longtemps et encore duré si Labrune n’avait pas mis son nez dedans » explique Christophe Bouchet.
Il ajoute également : » Quels qu’ils soient, il faut des gens durs au mal qui aient des nerfs sous la pression. Il faut aussi que le président, le manager et l’entraîneur aient le nez dans le quotidien. Une autorité naturelle pour que les gens suivent. A l’OL, les gens ne doutent pas de la stratégie d’Aulas même quand ça ne va pas. Tel qu’il est, l’organigramme de l’OM est obsolète. Il n’y a pas les gens qu’il faut aux postes clés « conclut-il.