« Ses paroles étaient fortes, mais il y avait une telle sérénité et un tel calme qui se dégageaient de ses discours… En sortant d’une causerie d’avant-match, une fois, j’ai regardé Steve Mandanda et je lui ai dit : ‘Là, je peux mourir pour lui.’ Il arrivait à nous motiver, c’était un truc de ouf. Ses mots pouvaient nous emmener très loin, vraiment », a-t-il confié au quotidien.