» Le Vélodrome. Ce Vélodrome. Son public, c’est un peu une version de Dr Jekyll et Mr Hyde revisitée par Marcel Pagnol. L’ambiance y est véritablement unique, exceptionnelle. Elle peut sublimer quand ça sourit, ou au contraire plomber et mettre une pression sans nom. Avec les Bleus, nous y avons joué en février 2009 contre l’Argentine (0-2). Ce soir là, j’ai eu l’impression d’évoluer à l’extérieur. La présence dans la peau du sélectionneur de Diego Maradona, un personnage adulé à Marseille, nous avait valu ce traitement de défaveur « explique Raymond Domenech.
Il ajoute également : » Après, quand un climat d’euphorie souffle sur le Vel, il s’agit sans nul doute du meilleur public au monde. Il est génial, il participe au jeu et soutient comme personne. Sans lui, les Bleus de Platini n’auraient sans doute pas renversé le Portugal en 1984 « conclut l’ancien sélectionneur.