» L’avoir eu à l’OM, c’est ma plus grande fierté, assure-t-il. Ça reste le trophée de ma carrière, la récompense ultime. Mais on ne l’a pas tout seul. Pour briller, il faut avoir des gens capables de vous faire briller. Chris Waddle est un exemple, mais il n’est pas le seul. J’ai énormément appris auprès de Giresse, Allofs, Abedi Pelé. Et puis il y avait Alain Casanova, qui restait avec moi pour faire mes gammes à la fin de l’entraînement. « se rappelle JPP.
Son seul regret est de ne pas avoir été dans l’équipe qui a remporté la C1 et se rappelle de cette finale perdue face à Belgrade : « Des regrets ? Forcément, souffle-t-il. C’est un match qu’on n’a pas joué. On avait sorti Milan, Moscou, et on se vautre lamentablement contre Belgrade. Quand on a tout connu à l’OM, c’est peut-être le petit truc qui manque, l’aboutissement… » conclut JPP désormais consultant sur Be In Sport.
