Ils font partie de la nouvelle génération des présidents de clubs de Ligue 1. C’est peut-être pour cette raison que Vincent Labrune et Loïc Féry se sont trouvés des points communs. Amis désormais, ils n’hésitent pas à faire des affaires ensembles lors des mercatos.
Jacques Rousselot, le président de Nancy, qui connaît bien les deux hommes, explique ce qui les rapproche : » Leur complicité leur a permis de faire des affaires. Mais en tout bien tout honneur. Si leurs rapports peuvent aider à s’arranger… Là encore, l’intérêt du club doit dominer et en cas d’opportunité faire fi des inimitiés avec un président » explique le dirigeant qui siège au comité exécutif de la FFF.
Et de préciser ensuite : » Quand Loïc est arrivé, Vincent a dû opérer la connexion, le prendre sous son aile. Il est un peu comme ça Vincent. Certes, leurs personnalités n’ont rien à voir mais ils se complètent habilement « conclut Rousselot dans les colonnes de France-Football.
Une complicité qui se traduit dans les faits par les transferts de nombreux joueurs entre les deux clubs à l’image de ceux d’Amalfitano, Morel, Romao, Lémina, alors que les frères Ayew y ont été prêtés et que Doria aurait pu en faire de même…
