« Si je suis à leur place, je fais les mêmes erreurs. Avec les moyens qu’on a actuellement dans l’arbitrage, il est impossible de voir que le ballon du second but était sorti. On aurait préféré que les Marseillais égalisent sur un but valable. Mais d’un autre côté, je ne comprends pas que la « Golden machin chose » (sic) ne soit utilisée que pour savoir si le ballon a franchi la ligne de but », a déclaré l’entraîneur héraultais. Idem sur le but de Rémy Cabella : « Il y a main, mais c’est impossible de la voir », a-t-il ajouté.
Une fois n’est pas coutume, l’équipe olympienne s’en sort bien. L’an passé, les erreurs d’arbitrage lui avaient clairement coûté la place en Champions League, soit l’équivalent de 30 millions d’euros de recettes…