Il s’évertue ainsi de transmettre son expérience aux jeunes joueurs phocéens. Après la défaite concédée contre Braga, il lui avait été reproché de ne pas avoir pris la parole. Il le fait désormais volontiers : « À la fin, Vincent Labrune m’a demandé si jamais quelque chose à dire, mais je n’avais rien à dire. Mais après, Lass et Steve m’ont pris à part pour me dire que j’aurais dû parler. C’est important d’apporter son expérience et son vécu. Je ne peux pas rester dans un fauteuil à fumer mon cigare et boire mon chocolat… », a-t-il confié au quotidien. Selon le journal, il est également du développement de l’image du club à l’étranger et de la vente de stages de football, en Chine et aux États-Unis. Sa tâche ne s’arrête pas là : « J’ai un autre gros challenge, c’est de créer le musée du club », a-t-il ajouté.
Longtemps boudés par les dirigeants du club, les historiques auraient-ils enfin leur place dans le club ? On peut penser que l’exemple à suivre, dans ce domaine, reste le Bayern Munich. Basile Boli devra en tout cas éviter les déclarations maladroites comme celle de la semaine passée sur le PSG…