« À partir du moment où il y a une décision de jouer, il faut être solidaires avec cette décision. Jouer, c’est peut-être rendre un hommage aux familles des victimes. Je n’ai pas honte de dire que j’ai eu peur, et que j’ai peur. Mais la vie continue. À nous, joueurs, entraîneurs, supporters, de faire en sorte que le match soit une fête. De l’appréhension ? Ayons en confiance en notre pays, et jouons », a-t-il confié. La vie reprend son cours et on peut penser que l’union, la solidarité et les sourires sont les meilleures réponses à donner à ceux qui tentent de faire régner la terreur.