« C’est quelque chose qui ne devait pas sortir. Je remercie d’ailleurs Edwin Murati d’en avoir parlé (ironique) Dans les dernières 48 heures, le président de l’OM m’a appelé. Mais ça faisait déjà quelques jours que j’avais donné ma parole au FC Nantes. Dieu sait que j’aime l’OM mais je ne me voyais pas revenir sur une parole donnée », a-t-il expliqué au micro de Canal+. Il confie néanmoins suivre les résultats de son équipe de coeur : « J’ai toujours gardé un oeil sur les résultats de mes anciens clubs, que ce soit le PSG, Sunderland, Galatasaray et bien évidemment, l’OM. Quand on est supporter de l’OM, on le reste toujours. Mais cela ne m’empêchera pas d’être le premier à vouloir les battre sur le terrain dans quinze jours. » Enfin, il s’est souvenu de son passage à Marseille, et de ses rapports avec Hatem Ben Arfa, lequel cartonne actuellement sous les couleurs de Nice : « Des fois, j’avais l’impression qu’on ne parlait pas le même langage mais c’était un garçon extraordinaire qui aurait pu faire de grandes choses. Ce n’est pas totalement fini. Il n’a que vingt-huit ans et encore le temps de faire de belles choses. »
Il est incompréhensible que les dirigeants phocéens aient attendu le dernier moment pour faire part de leur intérêt pour l’ancien capitaine, lequel serait évidemment venu si on l’avait contacté quelques jours plus tôt. Cela traduit toute l’improvisation qui a régné à Marseille, en août. On peut penser que la présence de l’Albanais aurait fait beaucoup de bien dans le vestiaire marseillais.