Pour autant, Le Parisien, dans un article particulièrement à charge, indique que la « clémence » de la sanction n’a pas plu à tout le monde, au ministère de l’Intérieur. « Certains auraient vu d’un bon oeil un huis clos délocalisé », ajoute le quotidien, qui parle maintenant du jet de « plus d’une centaine de projectiles ». Le journal rapporte néanmoins les propos plus mesurés du commissaire Boutonnet, chef de la Division nationale de lutte contre le hooliganisme (DNLH) : « Les fauteurs de troubles ont été interpellés et l’OM a pris des mesures et des décisions importantes notamment en termes de billetterie », a-t-il déclaré.