Effectivement, après la rencontre Nice-Bastia, les Aiglons avaient dû composer sans leur tribune populaire durant trois rencontres. Ils avaient également été condamnés à un huis clos total, qui est depuis tombé en raison d’usages de fumigènes. Difficile, pour autant, de comparer un envahissement de terrain, entraînant des bagarres avec les joueurs, au lancer de quelques projectiles (même si l’on ne peut que condamner ces derniers).