« Depuis le match d’enfer contre Liberec, Michel a essayé d’ouvrir le discours en disant : ‘Les mecs, s’il y a quelque chose qui ne va pas, si c’est moi qui suis un peu exigeant, il faut que chacun puisse dire ce qu’il a à dire' », a-t-il expliqué. Il s’est ainsi rappelé de la pression qu’il avait ressentie, avant les matchs contre Paris, au début des années 90 : « À l’approche d’un Clasico, il faut laisser faire les joueurs car ça vient naturellement. J’ai joué neuf fois contre Paris. Je peux vous dire qu’au fur et à mesure que les matchs arrivaient, je n’avais pas besoin qu’on me pique les fesses. Je partais tout de suite. » Il a enfin estimé que la prestation réalisée face à Paris pousse à l’optimisme pour les échéances à venir : « J’ai l’impression qu’on lance vraiment notre saison maintenant. C’est le match référence même si on n’a pas encore trouvé notre mayonnaise dans l’axe de la défense. On va trouver. »
Pour rappel, le défenseur a été nommé ambassadeur du club phocéen, il y a quelques semaines.