« L’OM n’est pas à vendre. Je dois faire avec un cahier des charges assez précis de l’actionnaire : baisser les charges, augmenter les recettes, pacifier l’environnement en général, ce qu’on a fait, rénover le club en interne mais aussi reformater son image externe. On n’a pas d’acquéreur, mais c’est sûr que tout ce qui va dans le sens de policer, d’améliorer l’image du club peut aller dans le sens d’attirer de nouveaux investisseurs de façon à avoir l’équipe la plus compétitive dans les années à venir », a-t-il expliqué sur les ondes de la radio.