Le journaliste estime que les deux penalties accordés aux Parisiens ne sont pas justifiés : « Je m’étonne que tous les observateurs, commentateurs, spécialistes trouvent que les deux penalties sifflés par Monsieur Bastien sanctionnent deux fautes indiscutables. » Il considère que le premier penalty est « est une action de jeu qui ne mérite aucune intervention de l’arbitre ». La main de Rolando, sur le second, était quant à elle « involontaire et seul ce critère existe pour que soit désigné un penalty ». Il regrette, qu’aujourd’hui, « le moindre contact » soit sanctionné. Le journaliste vient apparemment de réaliser qu’on sifflait des fautes « qu’on ne sifflait pas il y a vingt ans ». Selon lui, le football est à l’image de la société : « L’arbitrage suit le courant de la société : bientôt on ne pourra plus rien faire sur un terrain de football comme on doit se tenir à carreau quand on prend sa voiture. »
Cela laisse à penser que Pascal Praud a certainement pris un PV récemment. Quant à l’arbitrage, c’est une question d’habitude…