C’était lors d’un match disputé au Stade Vélodrome, en octobre 2005. Ainsi, si l’ancien directeur sportif reconnaît « qu’une odeur nauséabonde est apparue dans les vestiaires de nos hôtes » et que cela « l’aurait bien fait marrer de dévoiler un scoop », il assure que « c’est en fait un employé du stade Vélodrome » qui « avait utilisé bien avant l’arrivée des Parisiens un peu d’ammoniaque pour essayer de déboucher des canalisations récalcitrantes ». Il est néanmoins convaincu que certains Parisiens pensent encore « qu’il s’agissait d’un acte de malveillance ».
Quant à la présence de Clara Morgane, elle n’était pas destinée à déconcentrer les joueurs parisiens : « Là où l’histoire devient merveilleuse, c’est que les joueurs parisiens ont donc dû changer de vestiaires. Ils ont été placés dans des pièces annexes devant lesquelles passaient une partie des VIP invités au match. Et il se trouve que parmi ces invités figurait notamment Clara Morgane, qui est marseillaise. Son arrivée en tenue sexy a, paraît-il, fait tourner des têtes. » Pour autant, il s’agissait selon lui « d’un pur hasard et d’une drôle de coïncidence ».
José Anigo était ainsi « mort de rire » de se retrouver « à quelques minutes du coup d’envoi d’un OM-PSG à parler avec des arbitres de la présence de Clara Morgane ».