« Je pense que l’OM de Bielsa était plus vertical, plus rapide dans la transition, plus prompt à aller vers le but adverse. Moi-même, en voyant les montées des deux latéraux, je me disais parfois : « Qu’est-ce que j’aurais aimé jouer sous ses ordres ! » Michel, lui, semble privilégier davantage la préparation, c’est moins débridé, mais peut-être plus facile à lire pour l’adversaire, comme on l’a vu contre Angers où Marseille a eu du mal à mettre de la vitesse », a-t-il expliqué. Il estime notamment que les deux matchs gagnés face à Bastia et Troyes ne sont pas révélateurs du niveau de l’équipe : « Ils ont fait deux cartons contre Troyes et Bastia, mais la faiblesse de ces deux adversaires lors de ces deux matchs oblige à relativiser », a-t-il ajouté.
Il faut également noter que le technicien espagnol n’est pas aidé par l’énorme renouvellement d’effectif opéré cet été.