Alors que le président lyonnais l’avait qualifié de « guignol », hier soir, le patron phocéen l’a comparé à un « vieux lion » plus vraiment en phase avec la réalité du moment : « Il y a un choc de générations entre nous, entre une vision d’un football moderne, international et économiquement sain que j’essaie d’incarner, et une vision plus conservatrice, la sienne, au sein d’un système très bien rodé qu’il contrôle parfaitement depuis longtemps. C’est comme en politique, les vieux lions ont parfois du mal à accepter l’arrivée de plus jeunes », a-t-il expliqué au micro de la radio.