« L’envie était là. Après, sur le terrain, on est capables de mieux faire individuellement. La réalité, c’est qu’il y a actuellement des équipes qui nous sont supérieures. Le vécu du Mondial, comme pour nous, a servi à la Belgique mais on a des progrès à faire pour être plus performants. Je ne suis pas inquiet car on a choisi d’avoir une grosse adversité dans ces matchs amicaux, justement pour qu’on se rende compte qu’on a une marge de progression. On est capables de passer à l’étape au-dessus mais cela demande encore de la répétition », a notamment confié l’ancien coach de l’OM.