« Le monde du foot… Démerde-toi pour ton billet retour! Et les primes de fin de contrat ? Tu n’en as pas ! Incroyable », a-t-il ainsi pesté. « Cela se dit un grand club, mais quand il faut payer ses salariés, il n’y a pas plus personne ! » a-t-il ajouté. Le Chilien, dont on se demande encore ce qu’il faisait là cette saison, ne gardera visiblement pas un bon souvenir de son séjour à Marseille.
Interrogé par l’hebdomadaire, Philippe Perez a donné sa version de l’histoire : « La prime de précarité qu’il réclame a été incluse dans des mensualités confortables. On a également fait plein d’aménagements en sa faveur en cours de saison: la somme brute qu’il percevait a été ramenée en net, un aller-retour au Chili lui a également été payé à la trêve hivernale, tout comme l’hôtel pendant toute la saison, ainsi que son forfait téléphonique, larges dépassements inclus. Il a vraiment été choyé », a précisé le directeur général de l’OM.