Marcelo Bielsa se serait rangé derrière la décision de son président, Vincent Labrune, lequel s’était engagé à ne pas faire jouer l’Argentin contre l’ASM. « C’est une position quasi philosophique. Un joueur prêté ne devrait pas pouvoir jouer contre son employeur parce que, dans tous les cas de figure, victoire ou défaite, il y aura des interprétations et des répercussions. D’ailleurs, on n’a même pas évoqué un accord à ce sujet avec Monaco au moment de la transaction. Pour nous, c’est évident », a expliqué le patron marseillais dans les colonnes de L’Équipe.