« Les deux matchs contre Lyon. Au match aller, ils doivent gagner. Il y a un penalty, sur la faute d’Umtiti sur Thauvin, les spécialistes, vous le diront. Hé bien l’arbitre ne le siffle pas. Contre Saint-Étienne, ils gagnent une fois au Stade Vélodrome, mais au retour, il y a un pétard de faute de Théophile sur Alessandrini, sur le 2-2. L’arbitre est à côté, s’il ne le voit pas… Et là contre Bordeaux, pareil. Et contre Lyon, au match retour au Vélodrome, le ballon a bien franchi la ligne. Il y a peut-être faute, enfin… Et à l’arrivée, Monaco est devant, Saint-Étienne et Bordeaux sont près, et ils peuvent terminer sixième », a regretté le journaliste. Il refuse toutefois d’envisager un complot : « Vous imaginez les arbitres qui se réunissent noyautés par le méchant. Qui est le méchant, la Ligue ? Un dirigeant adverse ? Mis bout à bout, c’est vrai que s’il y a un cocu dans ce championnat, c’est l’OM. Mais sincèrement, je pense que c’est un concours de circonstances malheureux. Disons qu’il y a six ou sept points qui se baladent. Et du coup si tu les as, tu ne joues pas de la même manière… » Il considère néanmoins que les Phocéens que cela n’explique pas tout : « Il y a une injustice énorme avec Pallois qui doit être exclu, mais ce n’est pas pour autant que tu dois perdre le match. »
Ces erreurs pourraient bien coûter 45 millions d’euros à l’OM. Compte tenu de l’état des finances du club, l’avenir à moyen terme serait bouleversé.
