« Ce sera très loin d’être fini. Il peut y avoir encore des surprises. C’est un match pour le leadership du moment. Il y a un mano a mano, mais entre quatre équipes », a-t-il expliqué. Il avoue avoir pensé que les Phocéens ne se remettraient pas de leur début d’année difficile : « J’ai eu peur que Marseille lâche. Ca partait en vrille. Il y a des joueurs en fin de contrat et des aspects individuels qui auraient pris le pas sur le collectif. Là on est à nouveau sur la bonne dynamique. » Enfin, il estime que « pourcentage pour être champion est plus élevé pour Paris, après pour Marseille, puis Lyon et enfin Monaco ».