« Il n’a jamais abandonné ses idées. Quand son équipe a été en difficulté, il aurait pu dire: « on va changer de braquet ». Mais pas du tout, il a continué à jouer », a déclaré le champion du Monde 1998. Ce dernier semble notamment impressionné par sa faculté à motiver tous les joueurs : « Ce qui m’épate c’est qu’il arrive aussi à concerner ses remplaçants. Qu’est-ce qu’il y a de plus beau, pour un entraîneur, que de faire rentrer des remplaçants qui soient encore meilleurs que les titulaires ? » Il considère toutefois que son type de management ne serait pas possible lors d’une saison « Ligue des Champions » : « Attention quand même, on ne sait pas encore s’il restera, mais ce qu’il fait là, la saison prochaine ce ne sera pas possible. Avec un match tous les trois jours, ce n’est pas possible, avec cet effectif et dans ces conditions, cela me paraît très compliqué. »
Il ne faudrait effectivement pas prendre les joueurs français pour des Allemands ou Italiens : 120 à 130 kilomètres parcourus par match, ce n’est pas vraiment l’habitude de la maison Ligue 1.