« Quand j’ai signé le contrat avec l’OM, j’ai dit que je ne signerai pas pour deux ans. (…) Mon contrat a donc une structure juridique compliquée et je remercie l’institution qui m’a aidé à faire en sorte qu’il se termine automatiquement », a-t-il tout d’abord précisé. Car l’Argentin ne voulait pas s’engager pour deux saisons avant de vérifier qu’il était « compétent » pour diriger cette équipe. Il considère que ce contrat « protège davantage le club » que lui-même. Il n’oublie pas non plus « le prestige » de l’institution olympienne. Pour autant, selon lui, c’est au président de dire s’il veut « travailler avec un entraîneur », et non au coach de lui dicter sa conduite. Marcelo Bielsa ne veut pas « incommoder les gens », ni « mettre la pression sur l’OM ». El Loco déclare d’ailleurs avoir « honte » de parler de son avenir alors que son équipe « n’a plus gagné depuis cinq matchs ». Il estime que l’idéal sera « d’aborder cette question au terme du championnat », car l’analyse sera différente, comme « elle l’aurait été le 31 décembre, par exemple ». Le coach marseillais n’a pas pris connaissance des propos tenus par Vincent Labrune dans France Football : « Je me sens bien accompagné et soutenu. On ne me cause aucun problème quant au développement de mon travail », a-t-il conclu.