« Beaucoup de mes passes décisives sont venues parce que celle de « Gian » (Imbula) avait auparavant brisé une ligne, a-t-il expliqué à l’hebdomadaire. Il est la première lame, moi la deuxième. Sa transmission en éliminant trois joueurs me donne le temps d’ajuster ensuite la mienne, le temps de réfléchir. Ça le coach le voit mais pas toujours le public qui reste sur la dernière passe et le but. Même les journalistes, s’ils le voient, ne le mettent pas suffisamment en valeur et ça me dérange. « Gian » est sous-coté par rapport à l’importance qu’il a dans notre jeu. Le jour où il est moins bien, je le suis aussi, on dépend l’un de l’autre. »