L’hebdomadaire a effectivement attribué le prix citron à l’Argentin, lequel récompense « le plus mauvais client pour les médias ». On peut imaginer que le magazine a ainsi sanctionné les entraînements à huis clos privilégié par le Rosarino. Ces derniers paraissent pourtant mieux réussir aux joueurs phocéens. La preuve s’il en fallait que les intérêts de certains journalistes ne coïncident pas avec ceux de l’équipe professionnelle !