« Je ne le connais pas, a-t-il déclaré. J’évite de parler des autres. Les résultats lui donnent raison. C’est une personnalité, un personnage, un mode de fonctionnement. La seule chose que j’ai pu dire, c’est que l’on a accepté certaines choses avec Marcelo Bielsa, qu’on n’aurait pas acceptées d’un entraîneur français. Cet été, aucun entraînement n’a pratiquement été ouvert au public, il n’a pas fait de conférence de presse pendant deux mois. Un entraîneur qui fait cela à Marseille… Tant mieux, il peut se le permettre, tant mieux pour l’OM, pour lui. Je ne suis pas du tout jaloux, et tant mieux qu’il ait un environnement qui soit favorable. Et Dieu sait que c’est important à Marseille. » Il paraît difficile de comparer les situations des deux entraîneurs. Si Didier Deschamps n’a pas eu la chance de disposer « d’un environnement favorable », on peut penser qu’il a repris une équipe en meilleur état et bénéficié de moyens financiers bien supérieurs à ceux du technicien argentin.