« Il est très exigeant mais j’ai connu des coachs français qui l’étaient peut-être encore plus, a-t-il expliqué. Avec lui, il y a beaucoup de vidéos, c’est assez précis. » Il considère que « la barrière de la langue posait parfois quelques soucis parce qu’on ne peut pas toujours traduire exactement de la même façon des consignes de l’espagnol en français ». Enfin, selon lui, l’Argentin a « des méthodes vraiment différentes ». Si l’on en croit les résultats depuis le début de la saison, le club phocéen digère plutôt bien le passage à l’heure sud-américaine.