« Je me rappelle d’intenses parties de tarot. Notamment d’une tôle que je lui ai mise la veille d’un match de Ligue des champions face à Dortmund, en septembre 2011, a déclaré le boss phocéen. Didier est un grand joueur de cartes, il aime gagner, et j’étais fier de l’avoir battu ainsi ! » Malgré les tensions de l’époque, il semble entretenir de bonnes relations avec l’actuel sélectionneur des Bleus : « J’étais président quand il a quitté le club, mais je suis son premier supporteur depuis qu’il dirige les Bleus. Quand tout le monde enterrait l’équipe après la défaite en Ukraine, je montais au créneau dans les médias. Il a fondé une belle équipe. Je serai au Vélodrome pour le match », a-t-il conclu.