Le gardien marseillais semble même fataliste sur son sort en équipe de France : » Bien sûr que ça a été dur à vivre. Passer de numéro 1 à numéro 2, c’est plus compliqué que d’être numéro 2 directement ou numéro 3. Avec le temps, tout passe et on apprend à vivre avec. Je connais ma place, je n’ai pas de problème avec ça aujourd’hui. Le plus important, c’est le collectif. Faire partie de ce groupe France est quelque chose d’important. Il faut avoir le bon état d’esprit pour que le groupe aille au mieux et avance le mieux possible « , a-t-il expliqué en conférence de presse à Clairefontaine, rapporte La Provence.