« C’est différent : l’effervescence est palpable, mais le ballet médiatique est moins important, la rivalité entre supporters est moindre, a-t-il expliqué. On entend plus parler de Saint-Étienne. De l’intérieur, c’est plus calme qu’un PSG-OM. Ce n’est pas plus mal pour se préparer. Entre Paris et l’OM, certains matchs étaient chauds (sourire). Ils sont particuliers, avec une attente spéciale de chaque environnement. L’avoir vécu est un plus. »