« Quand Bielsa est arrivé, je me suis dit : « Tiens, il est pire que moi, celui-là. » Il ne parle pas, ne veut pas de journalistes aux entraînements et, quand l’OM marque, on dirait qu’il fait la gueule. Je me suis dit qu’il allait se faire fracasser. Mais ses résultats l’ont remis en grâce. Le délit de sale gueule, c’est de ne pas être dans les normes. Je sais bien que l’on est dans une ère du tout-image mais on ne va pas tous sourire comme des ‘beubeus' », a-t-il déclaré dans les colonnes du quotidien.