Dans les colonnes de La Provence ce mardi, Gérard Gili fait part de son avis sur l’apport de la nouvelle enceinte : « La différence entre ce Vélodrome plein et un stade en travaux, est énorme. J’ai connu cela sur le banc en 1996-97, puis ces dernières saisons en tant que spectateur, c’est horrible, l’équipe perd 80 % de ses moyens. Et l’adversaire ne ressent aucune pression. Or, la première fois que je suis venu au Vélodrome sur un banc adverse, je me suis rendu compte du poids considérable de la chape de plomb qui te tombait sur la tête. Aujourd’hui, ce stade est exceptionnel. L’adversaire est anesthésié, chacune de ses passes, chaque contrôle devient un exploit. Et quand tu es joueur de l’OM, tu es transporté. Le starter, c’est le public. Dès l’échauffement, le joueur de l’OM sait qu’il va se passer quelque chose « estime le technicien marseillais.