« La particularité du projet, qui était la première question que l’on nous a posée, c’était la protection face aux intempéries, le Mistral, les pluies, etc…. Parce que c’était un stade qui restait assez inconfortable, donc toute l’image du projet, on l’a basée là-dessus », a ainsi rappelé Maxime Barbier. Il considère que « c’est l’image de la toiture qui fait l’image du stade et qui devient un nouvel emblème pour la ville ». Son collaborateur est d’accord : « Architecturalement, l’idée était de redonner au Vélodrome une image d’emblème, de monument que l’on voit de toute la ville, qui rayonne sur toute la région et même au-delà de la France. »
Si le bras de fer entamé entre les dirigeants de l’OM et la mairie a inquiété les supporters à la fin du mois du juillet, le club dispose désormais d’un outil magnifique pour recevoir et faire trembler ses adversaires.
