« On a voulu changer complètement la pelouse qui n’était pas adaptée à la multiplication des événements, a-t-il indiqué. On est parti sur un système hybride avec un substrat synthétique recouvert d’une pelouse naturelle. Il fallait beaucoup de temps pour tout refaire. On a été un peu pris par le temps. On a posé cette pelouse quinze jours avant le premier match. » Il a néanmoins reconnu que le résultat n’était pas fabuleux, mais certifie que la pelouse se solidifiera avec le temps : « Elle a eu du mal à s’enraciner, cela s’est vu, je ne peux pas dire le contraire. On a mis en place un protocole très strict avec le fournisseur de la pelouse, on le respecte. Les choses s’améliorent, mais il faut un peu de temps. Pour ne rien vous cacher, avec la chaleur de la fin du mois d’août, il y a eu un champignon dans les racines. Il a fallu aussi soigner cette pelouse. Les jardiniers sont là. La luminothérapie sert à compenser l’ombre par de l’ensoleillement artificiel. »
On espère donc que l’OM pourra vite sur un terrain à la mesure de la splendide enceinte du boulevard Michelet.