« Si l’on part de l’idée qu’en début de saison le PSG est plus fort que l’OM, s’ils les battent deux fois cela ne fait que six points. Sept points c’est déjà un écart assez conséquent, combler un tel écart c’est faisable mais cela suppose que l’équipe qui est devant connaisse un passage à vide », estime-t-il. Il se remémore toutefois la jurisprudence de la saison 2009-2010, lors de laquelle l’équipe de Didier Deschamps était revenu sur celle de Laurent Blanc (Bordeaux) après avoir accusé un gros retard : « Quand Bordeaux s’était écroulé face à l’OM, j’avais dit en décembre que discuter de savoir si Bordeaux allait être champion je trouvais ça ridicule, j’ai eu tort. » Mais, selon lui, « l’OM est entrain de se mettre à l’abri dés maintenant pour les problèmes d’effectif que pourrait connaître le club pendant la CAN ». Il ne pense de toute façon pas que les Phocéens vont s’écrouler : « Cette série de sept victoires, la bonne ambiance, le jeu, l’énergie, les joueurs transformés, si je suis marseillais je suis optimiste, Il se passe quelque chose ! »