Jean-Michel Aulas avait notamment laissé entendre sans citer l’OM toutefois, qu’il ne recruterait pas un entraîneur ne parlant pas le français et qui arriverait avec un staff pléthorique. Des propos que Vincent Labrune a commenté dans les colonnes de La Provence : « D’abord, Aulas n’a pas cité l’OM. Si c’est le cas, je le comprends Jean-Michel. À sa place, je ferais la même chose. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait en 2012 lors de l’arrivée d’Élie (Baup): un entraîneur français, formateur, sans staff… Mais voilà, nous avons été rattrapés par un principe de réalité : en termes d’attente, de ferveur, d’environnement populaire et médiatique, d’exigence de résultats, » explique le président phocéen.
« L’OM n’est pas l’OL… Il n’y a qu’à lire l’ensemble des médias pour s’en convaincre : si l’OL termine cinquième, c’est l’exploit de la saison ; si l’OM termine cinquième, c’est l’échec du siècle », a-t-il ajouté.