Ce matin La Commanderie s’est réveillée avec une drôle de tenue. En effet des graffitis d’insultes à l’encontre de José Anigo ont été découverts sur les murs du camps d’entrainement Olympien. Profondément touché par la violence des propos, l’entraîneur de l’OM a préféré ne pas assister à la conférence de presse prévue ce vendredi midi et c’est Vincent Labrune qui s’y est collé. Le club s’en est expliqué via un communiqué sur le site officiel. « José Anigo connaît les obligations et les règles qui incombent à l’entraîneur de l’Olympique de Marseille. Il les accepte tant que le débat reste centré sur l’aspect sportif de sa mission. Par contre, José Anigo souffre des propos odieux déposés sur un mur d’enceinte du centre Robert Louis-Dreyfus, ce vendredi matin. Ce n’est pas la personnalité sportive qui est attaquée, mais l’homme.Le père de famille est meurtri et atterré par la violence des mots. »
Que l’on reproche à José Anigo son bilan sportif pour le moment très moyen, cela peut se comprendre aisément. Mais lorsque l’on bascule dans des propos d’une telle violence, peut-on parler d’autre chose que de stupidité ?